Naissance
1831 , France, Yonne, Cheny
Mort
1905
Sexe
Masculin
Héliograveur et éditeur français. Il a créé un procédé de reproduction photographique (héliogravure) d'estampe qui porte son nom
31-10-2025
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Page 272(fin Novembre 1883)Mon Cher Evely,Je suis désolé d’apprendre que vous ne pouvez me graver mes grands dessins pour le 20. Faites au moins ces deux ci. – Je compte bien sur tous les autres. Si vous mettez un mois ½ ou deux mois pour me livrer dles planches, nous ne pourrons plus nous entendre, Mon Cher Ami. Vous comprenez que je ne peux avec l’énorme travail que je dois faire sur vos planches, subordonner la livraison de ces planches à vos loisirs. Si vous ne travaillez pas pour moi lorsque vous aurez d’autres ouvrages à faire, je serai en plan à chaque instant. Nous voici fin novembre & j’attends les planches en retard avec impatience. ─Je ne comprends rien (dans votre compte) relativement à la planche de la Foire aux Amours. Vous comptez I croquis, mais malheureux ! c’est une planche de la dimension du modèle que je vous avais demandé, une planche dà 5 croquis. Vous me glacez de terreur. Je ne discute pas vos prix, quaoique, vu l’hésitation du résultat, je trouve effectivement
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Page 1 Recto : 1Mon Cher HippertTu recevras quelques exemplaires du journal dont on vient de m’offrir la direction artistique :LA VIE MODERNEPARIS-NOUVEAUDirecteurs :Partie Littéraire :Mr Armand GouzienPartie artistique :Félicien RopsÉditeur Alph Lemerre.Passage Choiseul.Tu sais c’est le journal que j’avais toujours eu l’idée de faire : 3 Éditions :1er Édition de Bibliophilie : 100 francs2e – de Luxe : 60 francs3e – ordinaire : 30 francs.La première Papier vergé – tirages avant laPage 1 Verso : 2lettre. Dessin de F. Rops reproduit exactement par la phototypie de Maes (c’est très beau)N°2 – Dessin reproduit à part par l’eau-forte ou la lithographieN°3 – Dessin reproduit tiré typographiquement procédés Durand & procédé Gillot.C’est un journal entièrement neuf & ces combinaisons sont très singulières. – on a 50,000 francs pour faire l’affaire, – c’est ce qu’il faut.Autre chose maintenant :Je compte fin juillet réunir la Commission des Aqua-fortistes & faire paraître le 1er fascicule.Tu es
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Page 1 Recto : 1Jeudi Nov 78.CroquisMon Cher Théo.Enfin me voilà ! – ce n’est pas sans peine ! Mais que veux-tu il y a quinze jours que « je trime ». – J’ai reçu tout comme je te l’ai dit : Tes éventails qui sont lestement & gentîment enlevés, (c’est tout ce qu’il me faut) et dont je te remercie grandement ; et les essais d’Evely. Voici mon opinion sur ces essais. – Je trouve le résultat très satisfaisant, & je crois que cela marchera ; mais il me faut tout de suite les deux plaques afin que je les fasse tirer ici & alors je te donnerai une réponse définitive.J’ai été chez Gillot deux fois sans pouvoir lui parler. Demain j’y retournerai. J’ai été chez Lemercier & dans quelques jours j’aurai des prix & des explications relativement aux chromo-lithographies.Je vais écrire à Huysmans demain, & SamediPage 1 Verso : 3je lui porterai le volume, nous causerons & tu recevras vite de nos nouvelles.Je compte faire les petits croquis & les petits culs de lampe, par le Gillot, pour le reste nous a
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Page 1 Recto : 1Cher Vieux,Ainsi tu croyais que tu allais lutter contre tous les crétins qui infestent ton beau pays et te faire décorer « parce que tu avais rendu des services » passe encore si tu n’en avais pas rendu !J’espère que Ricord n’a pas dit son dernier mot, & que tu passeras à la seconde fournée malgré Tarbé & les autres canailles de son espèce.Ma femme vient avec moi à Paris elle est un peu malade & j’espère que cela lui donnera un peu de distraction. Rassure-toi nous, nous resterons tout entier à notre affaire & pendant ce temps-là elle trottera seule dans Paris à sa guise.Ne t’impatiente pas Cher Ami, les premières choses que j’ai faites étaient mauvaises j’ai tenu à bien faire, tout cela m’a retardé mais comme je te l’ai écrit je suis maintenant bien au travail & je me hâte, seulement tu sais je fais ce frontispice en grand & ma foi c’est une besogne d’enragé je ne te le cache pas, mais cela sera très bien & si tu attends deux ou trois jours de plus que le jour que nous
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Page 1 Recto : 1Recachète toutes les lettres après les avoir luesMon Cher VieuxVoici la situation embêtante au possible dans laquelle je suis plongé. Il y a un mois que j’attends ici mon matériel d’eau-forte, presse, &c, &c Je fais les démarches avec Camille pour rentrer en possession de tout cela & le chemin de fer ne donne pas de réponse !! C’est une affaire de 5 à 600 frs avec les panneaux. Cela en vaut la peine. J’ai fait les dessins, il n’y a plus qu’à les graver et je me trouve le bec dans l’eau ! Voici le frontispice, tu vas aller voir Lemerre & tu lui demanderas pour moi la permission de lui remettre le quinze mars du quinze au vingt les eaux fortes de ce mois-ci. – Camille te dira que je n’ai fait que bûcher comme un nègre. J’ai recommencé deux fois ce frontispice qui ne venait pas du toutPage 1 Verso : 2mais pas du tout. Ne crois pas qu’il soit venu comme cela au bout de ma plume ! – Mettons de l’ordre dans ce que j’ai à te dire :1° – Je t’envoie ce frontispice pour être repr
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Page 1 Recto : 1Mon Cher VieuxParfait, parfait, tout est bien. Je ne t’avais pas écrit parce que je n’avais aucun renseignement à te donner avant de t’envoyer le frontispice du Musset. Je le mettrai Mardi à la poste avec une longue lettre explicative. Il faudra que tu fasses deux courses ou plutôt trois pour moi chez Malassis chez Lemerre & chez Amand Durand. Je travaille comme un nègre. J’ai recommencé deux fois le frontispice qui ne venait pas. Cette fois il me paraît réussi pleinement. Tu le verras & tu en garderas des exemplaires pour prix de tes peines. Le motif principal est un petit génie (une tête avec des ailes qui baise sur la bouche un sphinx à tête de femme. autour des personnages de Musset. Les deux partners du Caprice, Le fils du Titien, Mimi Pinson &c aux deux côtés un Vénitien & une Vénitienne (des Comédies.) – au bal un amourPage 1 Verso : 2se cache derrière les deux masques classiques de la Comédie & du Drame – au dessus des Chimères flamboyantes.Enfin je le crois ré
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Page 1 Recto : 11ère Lettre.Merci Cher Vieux de la rapidité avec laquelle tu as fait les courses & je vais en abuser. Ouvre tes entendements c’est compliqué. D’abord Amand Durand :Je t’engage, si tu veux avoir des épreuves intéressantes de Musset du frontispice & tu comprends combien ces épreuves auront de valeur à cause de leur rareté plus tard, a dire à Amand Durand que tu feras toi-même l’envoi des cuivres (étant en rapport avec moi &c &c journellement) Voici pourquoi : c’est que Amand Durand tire tout comme un cochon, un simple cochon & que les épreuves envoyées seront toujours embêtantes, elles sont nécessaires pour voir son travail mais embêtantes. Il faudrait donc que chaque fois que l’on a fini des cuivres, on te les passe que tu te rendes chez Liénart rue St Jacques, pas chez Salmon et pas chez Cadart pour raisons sérieuses, chez Liénart, rue St Jacques, j’ai oublié le n°, tu lui donnerais le cuivre en lui disant de te tirer six épreuves, pas plus : deux sèches, deux relevées
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Page 1 Recto : 12e Lettre,Décidément j’ai réfléchi & je t’envoie trois dessins.Avec ces dessins tu iras d’abord chez Amand Durand – tu lui diras que tu as un conseil à lui demander : tu n’as besoin que de lui montrer les deux grands dessins le flûtiste et la Norwégienne. Tu lui diras que ce sont des dessins que j’avais faits pour être reproduits par son procédé, mais que j’y ai renoncé. Seulement que je tenais à les lui montrer & surtout à lui demander si la teinte jaunâtre du papier de la Norwégienne ne gênerait pas la reproduction. Tu lui diras que je lui demande cela, parce que mon éditeur auquel appartient les dessins veut qu’ils soient exécutés sur papier hollandais & que tous les papiers hollandais ont cette teinte. – En revanche tu lui diras que cela fait un trait beaucoup plus noir que le papier bristol (Celui du Flûtiste). Demande lui aussi si le Flûtiste viendrait bien. C’est pour me baser là dessus pour les dessins que je fais maintenant. – Tu dois demander cela pour des réd
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Page 1 Recto : 1Mon Cher Armand,Je travaille & je te donnerai demain des détails ; – sur ce qui est en train. – Je vais Lundi ou Mercredi à Bruxelles pour me mettre au Courant du procédé Toovey qui je crois pourrait se combiner avec le procédé Durand & nous coûter moins cher.Engage Vierge, il nous le faut.C’est mieux que Morin & ce n’est pas « l’éternel Morin ». Je viens de tomber sur deux dessins de lui par hasard c’est très, très bien & c’est très habile, c’est l’idéal de ce qu’il nous faut comme homme de fond. Il doit être au courant du Gillot, du reste il s’y mettra.Rien de nouveau – CourageOn t’embrasseSi mercredi Claes n’a pas envoyé l’argent écris moi un mot, je pousserai une botte jusque là mais cela m’ennuie fortement. Enfin tout pour La Vie Moderne.
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Page 1 Recto : 1Suis ton homme et je resterai à Paris jusqu’à l’apparition de notre premier N° et tant que l’affaire soit lancée. Nous ne sommes pas du reste trop de deux pour nous aider.Notre journal du reste n’a rien à gagner à paraître huit jours plus tôt. C’est une affaire à se faire sa place, si elle est bien faite, puisqu’elle s’adresse à un public spécial, – le tout c’est de la bien faire.Devons-nous payer une caution ?C’est la le hic !Enfin nous allons causer de tout cela & tu me donneras un tour de clef car je ne marche plus, ma sonnerie est dérangée je sonne vingt heures !Malassis sera à Paris dans quelques jours et nous donnera un bon conseil si besoin est.Je t’embrasse.À bientôt enfin !À moins que le train ne déraille ce à quoi je m’attends.Page 1 Verso : 2En sommeJe veux savoir de Durand s’il peut reproduire en relief des dessins aussi menus – Voilà.
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Page 1 Recto : 1Celle-ci est longue – lis attentivement !Mon Cher Vieux– Reçu les 500 francs, dont je vais être avare comme un simple Tarbé.– Envoyé à Dom ton petit mot. –– Nous paraissons le 15 dernière date & irrévocable.– Le frontispice représente, – c’est pour toi le dessin, – cochon (l’épithète cochon s’adresse au directeur de la partie littéraire de La Vie Moderne & non au dessin,) représente : « un monsieur & une dame » l’un à droite, l’autre à gauche appuyés contre « des portants » (– terme de frontispice,) qui soutiennent un groupe de génies, lesquels génies déroulent uneCroquisimmense banderolle qui s’entortille dans tout le frontispice entremelée à des végétationsPage 1 Verso : 2bizarres. – Sur cette banderolle courent des scènes de la vie moderne : Cafés, Théâtres Salons Paysages Chasses etc etc. Plus bas des « Dames du Monde & des Messieurs en gilet en cœur devisent spirituellement Au bas, un bas-relief brisés des deux côtés représente une « Danse des Vivants »CroquisDANSE
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Page 1 Recto : 1Mon Cher Monsieur Evely,Ce petit billet vous dira que je vous envoie par l’agence Glineur une série de petits dessins à la plume dessinés sur la même feuille de papier et qui doivent être gravés sur une seule planche.Je viens de les retrouver. Ils avaient été gravés dessinés pour être gravés par le procédé Amand Durand & d’après ses propres indications, mais nous ne nous sommes pas entendus sur les prix.Ce parchemin, sur lequel ils sont dessinés donne (outre sa grande blancheur) un trait de plume très pur et net.Autant que je le pourrai j’emploierai ce parchemin, s’il vous va. Dites le moi tout de suite pour la grande planche que je vous prépare.Il y aura dans ces croquis des choses difficiles à graver comme la guirlande de violettes. Ne vous en inquiétez pas. Cette planche sera encore plutôt pour moi une planche d’essai.Dites moi votre prix pour une planche comme celle-là – cuivre compris.Autres choses que j’ai besoin de savoir pour ma gouverne 1° Le cuivre que vous em
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Page 1 Recto : 1Paris 25 avril 1879.J’étais absent lorsque votre lettre est arrivée.Mon Cher Monsieur EvelyVous pouvez commencer les croquis. – Je vous enverrai dans une dizaine de jours le deuxième dessin, celui dont je vous ai envoyé la dimension pour commander la planche. Je vous paierai 80 frs pour la planche de croquis. Pour l’autre vous ferez votre prix. Je ne discute pas les prix et je suis persuadé que relativement au travail que cela vous coûte ils sont modérés, mais cela sera donc à moi (nous en parlerons lorsque j’irai vous rendre visite.) à réduire tellement mon travail qu’il puisse vous faire arriver à me livrer des planches à 25 frs sans y comprendre le cuivre. Sans cela tout journal serait impossible par ce procédé. – Voici les prix des héliographes de Paris par à peu près : Étant donnée une planche clairement dessinée, (non achevée) comme par exemple une page de quatre dessins du genre de l’exécution & de la netteté de dessin du « Cuisinier portant un paon » qui se trou
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Page 1 Recto : 1Mon Cher EvelyJe suis désolé d’apprendre que v[ou]s ne pouvez me graver mes grands dessins pour le 20. Faites moi au moins ces deux ci – Je compte bien sur tous les autres. Si vous mettez un mois 1/2 ou deux mois pour livrer les planches, nous ne pourrons plus nous entendre Mon Cher Ami. Vous comprenez que je ne peux avec l’énorme travail que je dois faire sur vos planches, subordonner la livraison de ces planches à vos loisirs. Si vous ne travaillez pas pour moi lorsque vous aurez d’autres ouvrages à faire, Je serai en plan à chaque instant. Nous voici fin novembre & j’attends les planches en retard avec impatience. –Je ne comprends rien (d[an]s votre compte) relativement à la planche de la Foire aux Amours vous comptez 1 croquis mais malheureux ! c’est une planche de la dimension du modèle que je vous avais demandé, une planche à 5 croquis. Vous me glacez de terreur. Je ne discute pas vos prix, quoique, vu l’hésitation du résultat, je trouve effectivement que quelques
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Page 1 Recto : 1Mon Cher ArmandTourne la page & regarde si tu pourrais à bon marché nous graver sur cuivre ou du moins nous transporter de façon à ce que je n’aie plus qu’à faire mordre une page comme celle ci-contre. Nous faisons notre journal avec l’aide des cuivres. – C’est surtout le transport de l’écriture qui nous embête – À Paris on nous demande 100 francs par page c’est beaucoup trop, c’est Armand Durand qui nous demande cela.À toi tu auras Vendredi matin tes cuivresTon VieuxFélyMais tu devrais aller à Paris ne fut ce que six heures. – Viens vite.Page 1 Verso : 2CroquisMon Cher ArmandJe t’enverrai les cuivres & les aciers demandés demain soir. – Quand viens tu ? – Presse-toi je t’en supplie & avance ton invention dont nous nous servirons de façon à devenir cent millionnaires.– Je compte m’en servir pour notre journal dont je te transcris en belles lettres le titre intéressant.CroquisPHOTOGRAVUREFEUILLES VOLANTESNOTES ET CROQUISparFélicien Rops & quelques uns de ses amis.À toiFe
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Page 1 Recto : 1Samedi 15 juillet 1879Mon Cher VieuxGrand Merci de l’envoi. C’est bien imprimé & c’est arrangé avec gout & intelligence. Pas trop d’erreurs (quelques unes cependant) & peu de fautes. – Mais où peut-on se procurer deux exemplaires de la chose ? – Je voudrais en avoir un pour Olin & un pour Noilly. – Je ferais au besoin un échange avec toi de quelques états rares des Menus & de En prenant le Thé. –Comment n’as-tu rien reçu ? Voyons j’ai mis sous enveloppe un petit Menu Le Cuisinier au Paon État rarissime. & un état de En prenant le ThéUne femme assise dont tu dois avoir. (donttu as le croquis)CroquisRéclame à la poste. – Ces postes de Paris sont ignobles. Il y a troisPage 1 Verso : 2mois j’envoie à Dom une lettre non chargée avec un bon sur la poste d’Ixelles – Cela n’est pas arrivé – heureusement j’avais le reçu, mais l’argent n’est pas encore revenu.La lettre a dû être mise entre le 25 & le 30 juin à la poste à Paris – Bd des Batignolles me dit le concierge.Heureusement
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Page 1 Recto : 1Paris 21 Rue de Grammont – Jeudi 30Comment expliquer certaines nuances de la sottise humaine mon bien Cher Nadar. Tu habitais Paris, moi aussi ; caché dans un coin, un peu pauvret un peu mélancolieux, un peu souffreteux, avec, au ventre, toutes les affres d’un art que je sentais grouiller en moi, & qui ne voulait pas issir à la vie ! « Je te voyais mon vieux Cher Ami, un peu partout chez Durand aussi, & je te disais : mon bon Nadar, je t’aime bien, tu as toujours ta belle auréole d’homme bien portant & vaillant, je te sais heureux, cela me fait plaisir, pardonne moi de ne pas aller t’embrasser, mais je ne sais pas ! je ne dois pas le faire maintenant ! » – Pourquoi – ? que veux-tu, je ne sais pas ! – C’était idiot, connaissant ton cœur & ta bonne nature vibrante à éternité. Peut être par cette mauvaise honte, par cette timidité de la pauvreté que connaissent, plus que d’autres, ceux qui sont nés dans les dentelles, & à qui la vie a souri jusqu’aux oreilles. J’avais jeté
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Mon cher Malassis,Je sors de chez cet animal de banquier qui se refuse complètement à escompter le billet que je me vois forcé de vous retourner, à mon grand regret. Mon crédit est dépassé de beaucoup et je ne trouverais pas cent francs chez un autre ; vous connaissez du reste comme moi la défiance des banquiers belges qui n'a d'égale que leur rapacité. Je sais bien, mon cher ami, que vous ne douterez pas de ma parole ni de mon désir de vous rendre service, mais pour vous prouver que ce n'est pas faute de démarches, mais parce que ce billet à escompter est arrivé dans de mauvaises circonstances, qu'il m'a été de toute impossibilité de le faire passer, je vous envoie les deux malheureux billets que j'ai dû payer le 1" juillet et qui ont été la cause de cet échec.Si vous voyez un autre moyen de m'utiliser en cette circonstance, je suis tout à vous. J'ai bien regretté de ne pas vous avoir vu à Paris, je ne vous avais pas écrit, parce que je n'étais pas certain, à une semaine près, de la d