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Je t’attends depuis trois jours Maraud ! je croyais que tu serais revenu Dimanche pour patiner une dernière fois :
« Glissez mortels, n’appuyez pas ! »
ne manquerait pas de dire la mère Dash en ses littératures
La Semaine a été éminemment patinatoire. J’ai été le St Vincent de Paule d’une foule de pubertes qui meurtrissaient leurs apophyses lombaires sur une glace, – insensible hélas ! à ces attouchements sonores. – Il y a avait aussi par là la nommée Musart qui grattait comme père & mère en agitant ses annexions aux Pays-Bas & la nommée Belval à Marcelin. – « J’ai fait mes frais » !
– Il faut aimer et se taire !
Je suis amoureux comme un moineau voilà où ça vous mène le patin. Enfin pour l’instant je t’attends.
– L’appareil de chauffage n’est pas encore terminé ! – Il y a huit jours que les Vermeiricules grattent, brulent, soudent & martèlent dans l’atelier. C’est délicieux !
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Paul est toujours dans le même état. & il est probable que Charlotte partira pour Thozée dans une huitaine de jours. – Embrasse pour nous tes enfants & nous t’attendons.
Quant au bombardement de Paris heureusement il me parait dans l’impossibilité d’atteindre la rue Magnan. & tu dois être tranquille de ce côté
À toi & à bientôt.
Ton Vieux