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Mon vieux co-accusé, attends quelques jours encore, et l’on est à toi : Dijon ! Terrasse ! Servez ! On te fait ici mille compliments de nouvel an à toi et à Madame Camuset et on te remercie de cette langue qui ressemblait à celle d’un dieu et avait un parfum d’ambroisie, dirait Banville ! On achève de passer ces caps des Tempêtes qui s’appellent le 1er et le 15 janvier : Étrennes et Termes….. Quel bûchage, mes enfants !! Et tout cela au milieu des déménageries qui n’en finissent jamais ! Car les dix architectes du Crédit Lyonnais et les trois cents maçons en sont encore à poser les cheminées, rue de Grammont !!! Tout cela, c’est la petite mort.
Excusez-moi et compte absolument sur moi après ce grand seize !!
À toi, mon vieux pétiole.
Ma vieille Folicle, nous allons faire des choses intéressantes, qu’a dit Clairir.
J’ai vu le moment où tu allais faire une préface par C… ! car tu aimes Adrien Marie ! Tu n’oses pas le dire ici, – mais à Dijon !