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Paris le 21 juin 1895
Mon cher Dewitte,
Je suis un sale muffle, voilà deux mois, deux longs mois que je dois vous écrire et vous envoyer des épreuves de l’admirable portrait que vous avez bien voulu faire de moi et qui sera le seul portrait que l’on fera de moi, mais je n’ai jamais pu être exact en rien. Je vous enverrai des épreuves et une lettre Mardi prochain, sans faute !
Ceci n’est qu’une poignée de main que je vous envoie de tout cœur.
Bien à vous et à bientôt.
Félicien Rops
Sur la quatrième page de la lettre, ces mots de Rassenfosse :
Mon cher Dewitte,
Voici un mot que Rops m’a remis pour toi.
Je rentre de Paris à l’instant.
Bien à toi
AR.