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J’ai reçu ta lettre & la bonne nouvelle du mariage d’Armand. Je doutais de la « catastrophe ». Comme tu le dis, c’est une très heureuse affaire pour lui, & cela va le tirer hors des milieux bêtes & canailles dans lesquels il est forcé de vivre. « Les nymphes au tombeau d’Anodis » arracheront quelque peu leurs rouges crêpés », mais les maris rassurés illumineront & gigueront !
À propos : Va donc voir chez cette demoiselle Sirin N° 11 Rue des Abbesses après cette petite Maria Renaux, – ne fut ce que par pure & perverse curiosité ? Si cette « Dlle Sirin » n’était pas chez elle, demande au portier si Mlle Maria Renaux est encore « chez elle. – Écris moi poste restante Ixelles j’y vais tous les deux jours.
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Donc. La Vie Moderne
va paraître. Ah ! Il s’agit de la faire, & de la faire bien – c’est le dernier omnibus. pour « la Chance & pour l’Argent & pour la Gloire » si nous le manquons nous pataugerons dans la crotte ! – et longuement ! Quant à moi je suis décidé à faire feu des quatre pieds.
Il est temps & grand temps !
Je serai le Samedi 31sans aucune faute. à Paris Je te donne rendezvous à midi précises chez les Grâces elles mêmes 17 Rue Paradis sans Poissonnières !
Ici personne ne t’a vu. Sauvé mon Dieu !