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9 oct. 75
Mon Cher Marlaire,
J’étais absent quand ta lettre est arrivée à Anseremme. Je suis à votre entière disposition, fais part de ceci à Wesmael, et dit-lui qu’il s’entende avec toi pour fixer un jour.
Tu sais bien que je ne demande pas mieux que de m’entendre avec vous et que même ayant droit je ferais toutes les concessions désirables pour vous prouver ainsi qu’à vos amis du Club que je ne veux en aucune façon servir les rancunes de Victor Rops, ‒ d’autant plus que j’ai gardé au Club des amis avec lesquels j’ai toujours sympathisé.
Donc mon jour sera le vôtre.
Télégraphiez-moi seulement la veille de votre arrivée afin que je ne m’éloigne pas du « Repos des Artistes »
Je te serre bien la main
Félicien Rops