Lettre de Félicien Rops

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Je reviens de Thozée, tu comprends que si, je n’étais pas auprès de toi dans les tristes circonstances où tu t’es trouvé, c’est que j’étais moi-même bien nécessaire ailleurs. J’ai dû reconduire à Thozée ma femme malade & j’ai dû rester pour soigner Paul qui étais plus malade encore. Décidément nous n’avons pas eu de chance depuis quelque temps et il faudrait bien que cela tourne un peu. – Reviens, Bruxelles te fera du bien, autant que cela peut faire. Il ne faut pas rester seul. – Reviens. Somme toute Cher Vieux la vie n’est pas si amusante pour qu’on la regrette beaucoup pour ceux qui vous sont chers & qui s’en vont avant leur heure.