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Reçu enfin ! – La Gazette de Paris ; – j’allais justement t’écrire pour te flanquer une danse, – il y avait dix jours que je demandais le 1er N° à tous les marchands de journaux, – rien ! rien ! rien ! –
Votre administrateur me fait l’effet d’être un joli imbécile, – Plus de cinquante personnes, m’a-t-on dit à l’Office, sont venus pour acheter des N°s & ils n’en ont pas un seul. Je parle de l’Office du passage St Hubert, l’office Sardou celle qui vend le plus.
À part cela le journal me paraît bien fait & plus littéraire que ses copains Le Gaulois & le Figaro. – Ménage toi & réserve tes mots pour la Vie Moderne.
Me voici réinstallé devant ma table et en train de faire un rude chef-d’œuvre. Je vais te tomber sur le dos avec les quatre pierres et des dessins pour le journal à faire faire par Durand. –
Je n’ai pas une minute à moi & je ne bouge pas d’une aile.
Tu verras si je suis un lâcheur.
Je ne resterai que deux jours à Paris & je reviens achever les autres pierres & préparer les dessins de la Vie Moderne.
À toi – Amitiés de tous. –
Fély
Et il n’y a pas un crieur qui annonce la Gazette à Bruxelles ! – lorsque le Gaulois et le Figaro en ont 500. !
Dom entre à la Chronique d’Hallaux momentanément je l’espère, il en aura vite assez & repiquera des deux vers Paris avant
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trois mois. – Quand tu as un n° de trop de la Gazette mets le de côté puis flanque moi le paquet à la poste. Tout ce qui vient de Paris m’intéresse.
À bientôt & à toi Cher
Je t’embrasse
En steeple chase.