Lettre de Félicien Rops à Armand [Gouzien]. Mettet, 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6958/11
Page 1 Recto : 1Je ne réponds plus à rien qu’ils aillent se faire pendre, – ce qui arrivera probablement si Stany voyage en Angleterre !Mon Cher Armand,Léon m’écrit une lettre fort longue & fort embrouillée que je t’adresse puisque je t’ai adressé les autres. Je n’ai pas plus à y répondre que je n’ai répondu à la première, pour les mêmes raisons. – Les faits restent les mêmes. – Léon ne sait plus du tout ce qu’il écrit, ni ce qu’il m’a écrit. Il nie dans cette dernière lettre m’avoir accusé de montrer ces lettres, – lorsque c’est uniquement devant cette accusation, la seule que renfermait sa lettre, d’ailleurs, & pour me disculper de cet idiotisme que j’ai envoyé des témoins à Mr Kind’t. – Encore une fois je n’ai que ceci à dire : Je suis resté à Bruxelles vingt quatre heures depuis six mois, pour affaires j’ai vu « pour affaires » Hallaux & ni le nom de Léon, ni celui de Mélanie n’ont été prononcés. À personne je n’ai parlé d’eux & je n’ai aucune indélicatesse ni aucune indiscrétion à