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262 Avenue Louise Jusqu’à présent, six lettres où apparait cette adresse ont été recensées dans toute la correspondance de Rops. Il ne s’agit pas de l’hôtel du Rond-Point de l’Avenue Louise, où Rops habita, qui portait le n°317. Dans les Almanachs de la ville, on trouve au 262 un certain F. Anthoine, fabricant de jupons, en 1870 et 1873. L’immeuble est ensuite renseigné comme « vide » jusqu’à l’arrivée de A. Washburne en 1882-83.
Mardi soir.
Mon Cher Lemonnier,
Votre lettre arrivée à 9 heures du matin chez moi ne m’est parvenue que dans l’après midi. Il était trop tard pour me rendre à votre rendez vous. Je serai chez vous À cette époque et jusqu’à la disparition de L’Art universel, Lemonnier habitait au 172, rue de la Victoire à Saint-Gilles.
Mercredi à quatre heures. – Si vous n’y êtes pas : Jeudi matin à 9 heures.
