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Paris 27 7bre 1888
Mon Cher Camille,
Dans les planches reçues aujourd’hui il y a deux planches qui ne sont pas de moi. Je crois qu’elles sont de d’Ursel. Comme il est à Paris je ne te les réexpédierai pas. Manque encore le reliquat :
– L’Ariette.
– Mon ami Lesly
Tes cuivres me sont arrivés admirablement. Je t’embête bien mon pauvre Camille, mais je te revaudrai cela.
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Je suis dans mon coup de feu, je ne te dis que deux mots au galop.
J’espère que tu arriveras à trouver le « reliquat » !
Ah ! cela m’inquiétait hier.