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14 Juin 1896.
Mon Cher Deschamps,
Monsieur
Je suis un peu malade et demain, sans faute je vous écrirai une longue et importante lettre. Je ne peux faire mon exposition avant la date d’octobre. Elle sera fort belle pour mille raisons, vous venez invoquer des raisons pécuniaires qui ne sont pas dans mes habitudes, c’est fort aimable de votre part, mais nous retrancherons cela, cela ne m’empêche pas de me considérer comme responsable de vos pertes d’argent dont vous vous plaignez. Nous commencerons par là, j’espère que cela vous rendra du calme.
Je vous retourne anéantis les billets. Je ne vous remercie pas moins de votre gracieuseté. mon Cher ami. Nous allons reparler de cette grave question qui pouvait ébranler la grande âme d’Hayem.
À Vous Mon Cher Deschamps, et j’espère que nous ferons ensemble notre exposition malgré tout. et vous en serez étonné.
F. Rops
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Ne nous attend pas à déjeuner demain, je ne suis pas encore remis, mais demain cela va l’être. Je ne bouge pas d’ici demain Lundi ni Mardi.
