Lettre de Félicien Rops à [Charles] Jolly[-Bavoillot]. s.l., 1888/00/00. Paris, Fondation Custodia, 1990/A/669
Page 1 Recto : 1Mon Cher Monsieur Jolly,Je regrette beaucoup de devoir partir brusquement sans vous serrer la main & sans faire aussi mes adieux à Mr Thulstrup. Mais je suis rappelé à Paris par dépêche. Le 15 septembre 1888 je serai à New York, & j’espère peut être avoir le plaisir de vous voir d’ici là.Je vous serre la main bien amicalement & affectueusement.Je vous écrirai à mon arrivée.Félicien Rops