Lettre de Félicien Rops à [Léon?] [Dommartin?]. s.l., 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6655/469/55
Page 1 Recto : 1Mon Cher Vieux,Enfin soit, – tu trouvais que « tu n’es pas là pour défendre ce que tu criais sur les toits qu’il fallait défendre depuis Wagner jusqu’à Millet, il y a trois ans, –C’est ton opinion, n’en parlons plus ; cela ne valait pas la peine d’écrire des manifestes dans l’Art Libre & de tomber Siret dans la Chronique. Tout est bien, Slingeneyer est Dieu & Fétis est son prophète.Du moment où Ménager est mort ! Je m’en tirerai comme je pourrai All right ! comme dit Oxley. Causons de nos petites affaires.Gouzien a raison – seulement Gouzien ne savait pas & ne sait pas la position de Lemerre & doit effectivement s’étonner. Tu verras si en Janvier le Musset ne suivra pas son cours. Rien n’est « lâché » ni Lemerre ni Musset. Quant aux dettes Brassinne est entièrement payé & content – quant on a dépensé depuis l’âge de seize ans pour cinquante mille frs de vêtements chez un tailleur, on peut le faire attendre un an le payement d’une dernière note. Affaire faite. Le Singe,