Télégramme de Félicien Rops à Roger Marx. Paris, 1892/02/04. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, III/215/2/17
Page 1 Recto : 1MrRoger Marx24. Rue St Lazarre.Page 1 Verso : 2Paris 4 fév. 1892Mon Cher Marx,Je recois à l’instant votre très aimable mot, qui a été envoyé à la Campagne o[ù] je ne pouvais être, par la femme de mon concierge par mégarde. Je suis dans un bien triste moment : Je viens de perdre un beau petit garçon, – si longtemps attendu ! – qui n’a fait que naître, se faire aimer et regretter, emporté par une embolie. Il y a tant, déja, d’espoirs de projets et d’affection sur la tête d’un enfant d’un jour !. Ce coup me navre, & je n’ai guère ma tête à moi. Excusez moi. Remettons votre visite à Jeudi 11 février. Vous savez combien elle me fera plaisir, et j’ai bien des choses à vous dire. Je serai à l’atelier place Boieldieu N°1 de 1 à 6 heures.Bonnes amitiés de votre bien découragéFélicien Rops