Lettre de Félicien Rops à [Jean] Alboize. s.l., 0000/00/00. Paris, Bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art, 16968 et 16969
Page 1 Recto : 1Mon Cher Monsieur AlboizePourrais-je avoir la planche de la Hongroise pendant un soir ? J’ai perdu ou l’on m’a pris une épreuve de ce cuivre – du dernier état & j’en ai absolument besoin. Retrouvé les fragments de lettres, – il va falloir élaguer tout cela, c’est un peu follet ces machines écrites à la diable. Je ferai de mon mieux. Il y a un éreintement de Mackart !! C’est affreux de vérité. On dira que nous insultons les morts ! – Tant pis : il estPage 1 Verso : 2des morts qu’il faut qu’on tue, disait Fernand Desnoyers, – je trouve qu’ils ne sont jamais assez morts.À vous bienFélicien Rops