Lettre de Félicien Rops à [Léon] [Dommartin]. Corbeil-Essonnes, 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6655/462/3
Page 1 Recto : 1Mon VieuxCroquisTu te fâches ! cela me prouve une fois de plus que j’ai eu raison de t’écrire ce que je t’ai écrit. – Quant au sujet que tu me défends d’aborder, je ne demande pas mieux que de ne pas y toucher Mon Vieux ! Seulement j’en ai entendu parler par tous ceux que tu vois pour journellement & en termes que je t’épargnerai de répéter. – Si tu crois qu’on se gêne labàs pour qualifier ces choses là tu te trompes. Mais cela ne me regarde plus ; libre à toi de te réencanailler, Mon pauvre Léon, il n’y a plus que toi qui en porteras la peine, Nous en Souffrirons pour notre part parce que nous garderons notre amitié pour toi à travers tout. Maintenant N’en parlons plus.À toiFély– Dors en paix sur le sein de Lisotte comme disait ce brave Désaugiers. – Ce qui a de plus drôle c’est que tu trouves les mêmes mots qu’Artan dans sa lettre à Dubois ! – Ce que c’est que nous ! – Vu Tardieu qui attend toujours tes excellents articles d’ailleurs. – Et ne vois pas encore « un repr