Francisco de Zurbarán

  • Naissance

    1598

  • Mort

    1664

  • Sexe

    Masculin

Présent dans 2 documents

Lettre de Félicien Rops à [Léon?] [Dommartin?]. s.l., 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6655/469/80

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Page 1 Recto : 1Jour de Pâques !Mon Cher Vieux,Je suis dans toutes les Espagnes avec le bon Gouzien. – Je ne déplanche pas du Musée de Madrid : 14 Zurbaran 58 Ribera 66 Rubens 54 Velasquez 10 Raphaël 46 Murillo. 43 Titien 54 Tintoret 25 Paul Véronèse. 2,000 tableaux. Voilà comme ils y vont ici !!!Quant à la bête humaine qui m’intéresse encore plus que les tableaux étonnants & d’une allure ! À part les coups de cuchillo ou de navaja que l’on risque si l’on regarde leurs femmes trop bas la vie y est crâne & vibrante. Partons pour Séville & la côte méridionale. Besoin de Grenade & surtout d’Alhambra ! besoin de voir tout cela, c’est trop bête de ne pas l’avoir vu. – Je me suis fâché contre moi. Du reste, tu sais à Paris on trouve toutes les occasions d’aller où on veut.Page 1 Verso : 2Et des paysages brulés dévastés apocalyptiques. Ce qui me charme dit Gautier dans les paysages d’Espagne c’est que les montagnes n’y sont pas suisses. Tu vois que son bon œil de peintre avait été blessé par

Lettre de Félicien Rops à Théo [Hannon]. s.l., 1878/06/00. Bruxelles, Archives et Musée de la Littérature, ML/00026/0188

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Page 1 Recto : 1De Stevens et quibusdam aliisNotes pour servir à l’histoire artistique de notre tempsMon Cher ThéoQuand tu viendras (& je t’engage à venir vers le 16 juin au prix de Paris) nous arrangerons ton frontispice, Ad majorem Diaboli gloriam, ce qui est l’épigraphe que je prendrai pour mon album du Diable une machine que je rumine depuis longtemps.Je t’ai parlé de Stevens dans ma dernière lettre Mon Cher Théo, & tu me réponds en me parlant de la Tentation de St Antoine, – œuvre tout à fait fantaisiste, quoiqu’elle ne soit pas en dehors de l’Idée Moderne pour ceux qui savent lire entre les traits de crayon, mais qui n’avait rien à voir en cette affaire. Ne crois pas que j’aie voulu me mettre en parallèle avec Stevens ! Lorsque je parle art dans une lettre ou verbalement, je ne pense jamais à moi & je traite toujours mes confrères comme si j’étais un simple amateur d’art quelconque, – un avocat intelligent, – il y en a ; ou un marchand de caoutchouc vulcanisé qui aurait fait ses