Lettre de Félicien Rops à Léon Dommartin. [Bruxelles], 1873/03/10. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6655/468/34
Page 1 Recto : 1Je suis fort embêté Mon Cher Vieux de ce qui arrive à Armand, mais il se tirera d’affaire j’en suis parfaitement convaincu. Il est de ceux qui non seulement trouvent des truffes sur le radeau de la Méduse, mais encore un cochon pour les déterrer, sauf à manger le cochon pour lui épargner la douleur d’assister à un sinistre maritime. Si Gouzien n’a pas été aussi chançard qu’il le mérite c’est que pour un Breton il n’était ni assez royaliste ni assez catholique ; & il le deviendra ! – comme nous heureusement ! – « L’avenir est en train de nous tresser des couronnes » Je disais déja cette phrase dans l’Entracte devers l’an 1854.Maintenant chantons Glycère : Mais bêta ! si je ne t’ai pas écrit & si tu ne m’as pas écrit c’est que je n’avais rien à te dire : tout simplement. – On m’avait dit que de nouveau tu caracolais en veste abricot & en pet-en l’air cuisse de nymphe à la gauche de Cydalise, – écrirait Arsène Houssaye ; – & j’avais assez Tiberginé à cet endroit ! – C’est