Lettre de Félicien Rops à [Armand] [Gouzien]. s.l., 0000/00/00. Bruxelles, Bibliothèque royale de Belgique, II/6958/94
Page 1 Recto : 1Mon Cher Vieux,J’allais justement t’écrire ceci : « Si nous pouvions nous fondre avec une administration montée comme Paris Caprice. Traite avec Vahrer comme tu l’entends. Je serai à Paris cette fois mort ou vif à la fin de la Semaine & pour tout le mois »Mais ce qu’il nous faut c’est nous fondre avec un journal et surtout faire entrer dans notre boutique « un faiseur » tu ne l’est pas ni moi non plus raison de plus pour introduire dans notre affaire cet oiseau rare.En temps que tu fasses encore l’affaire avec moi. – Si tu vois plus de chance de la faire avec un autre, fais la Cher Vieux, car je suis toujours en ma désespérance.Je garde le coq qui personnifie La Gaule L’éternelle Gaule ! le moineau franc ne peut faire qu’un petit cul de lampe parisien – ce qui n’est pas même français.À toiFélyTraite comme tu l’entends. – Le BerrPage 1 Verso : 2de Tunique même ne serait pas mauvais faiseur ! & c’est ce qui nous manque ! –Traite avec Vahrer & reprenons la suite de Paris-C