Les feuilles des arbres urbains se sont rougies et commencent à tomber, en douceur, sur nos rues et chemins de traverses.
Cette palette de couleurs flamboyantes est source d’inspiration pour beaucoup d’artistes, Rops ne faisant pas exception. Il en parle dans une lettre écrite lors de son voyage à New York, en octobre 1887. Il y déploie sa verve poétique d’horticulteur passionné, avec le vocabulaire pointilleux qu’on lui connait.
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